Molles relectures face au Godzilla du point final et de la course à l'édition... Si je manque de pugnacité il serait trop facile de le mettre sur le compte d'une lascivité toute estivale. Non, en fait la peur de finir, autrement dit de clore un espace assez agréable, une zone de confort avec des personnages attachants et un déroulement quotidien, cette peur donc prendrait le pas sur le plaisir de glander sur une plage en attendant Godot, l'esprit vide d'histoires car le manuscrit serait achevé et donc dispersé à tous vents. Il semblerait que seul le germe aussi infime soit-il d'un autre roman puisse me pousser à terminer celui-ci...
B. M.