L'écriture d'un roman monopolise une masse de temps et d'énergie, qui s'accorde mal avec la dispersion? C'est en tout cas ce que j'imaginais… Bien sûr, il faut nuancer ce propos par exemple suivant le stade d'avancée de l'écrit ou le nombre de décibels aux alentours. A bien y regarder, cela reste vrai même dans le désert et même avec des oreillettes ! Quelle ne fut donc pas la surprise de votre humble Scriptaire devant la croissance de bourgeons oubliés et, autant l'avouer délaissés.
La remontée en flèche de l'inspiration printanière pousse le clavier non pas dans les orties mais dans les roses sans épines ! Avec le retour du blog "La rose, un jour" et de ses haïkus fleuris le long d'un sentier quotidien ou presque, ce n'est certes pas l'extase spectaculaire et éphémère, mais une idée de bonheur simple au jour le jour. Peut-être cette dérivation-là procure-t-elle une forme de repos littéraire ?
Je ne sais pas !
Quoiqu'il en soit je vous invite à cette trêve parfumée par ici...
http://laroseunjour.blogspot.fr
Affirmation de Scriptaire :
Survie à tes peines...
