Orz, Inz et Eize...
Des frères et sœurs se chamaillaient dans un jardin
Une balançoire vide de tout occupant, marquait le vent
de son élan :
En haut, en bas, l’inlassable course du siège de bois laissé
par Orz
Pour narguer le ciel, pour frôler la terre…
Jusqu’à ce que fatigué de tanguer, de tergiverser entre bleu
et vert,
Le va-et-vient préféra les tourbillons de la brise d’hiver.
Chacun son tour ! Chacun ses jours !
De la dispute vint un accord qui résonne encore,
Et ce fut Inz qui s’installa pour décrocher les nuages…
Pieds en avant, tête renversée, il y mit cœur et corps,
Oubliant la promesse d’Eize cachée dans un buisson…
Ainsi vont les années se chassant et pourchassant le temps !
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